Face à l’urgence environnementale, sociale et démocratique, notre AMAP a pris part à la réflexion initiée par 16 associations nancéiennes. Durant plusieurs rencontres, pas moins de 26 propositions ont émergé et ont été validées collectivement.

Pour les AMAP, en particulier, l’appel est lancé pour que les élus s’engagent sur la gestion du foncier, l’aide à l’installation de jeunes maraîchers ou éleveurs, les approvisionnements en circuits courts et bio pour la restauration collective, l’installation de légumeries en cuisine centrale… Notre mobilisation individuelle d’amapien.ne ne suffit pas. Sans l’intervention de nos élu.es, les changements de pratiques agricoles et alimentaires resteront réservés à des populations privilégiées et les initiatives citoyennes locales resteront marginales face aux logiques agro-industrielles.