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Pierre Edouard
Maître des clésCe sujet me perturbe. Merci beaucoup pour les réfs.
C’est difficile. D’abord, la question des micro-doses. On s’en prend. Au boulot (restauration), les tickets sont tirés sur imprimante thermique. Bisphénol A. Films étirables, conserves, canettes x/y…
Où est là limite ?
Après, les courbes auxquelles on accède sont claires, le corps saturé est pire que le corps qui ne détecte pas les mini-doses. Cet aspect de la toxicité nous laisse dans le flou.En tout cas, nous on essaie de supprimer grosso modo les plastiques. Les codes à éviter seraient les 1, 3, 6 et 7. Il y a sur une bonne part des produits un triangle dans lequel un nombre apparaît, c’est le code recyclage (http://www.p-interactif.com/spip.php?article160). Et quand j’avais découvert ça, je m’appuyais sur un article du criigen que je ne retrouve plus, mais clairement, le code 1 était donné comme acceptable (grosso modo celui des bouteilles d’eau) avec diffusion de saloperies détectables passé un an de croupissement ; le 2 non.
Ici on trouve un diapo qui fait un tour de piste sur la notion de perturbateurs endocriniens.
Pierre Edouard
Maître des clésEn soupe c’est vraiment top. On s’est fait ça ce soir, avec simplement un oignon, des pommes de terre (quatre petites en l’occurrence).
Délicieux. -
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